dimanche 7 février 2016

Deux rêves politiques

La nuit dernière, j’ai été visité par Julie Gayet. Le sujet et l’objet de sa visite m’échappent, mais c’était bien elle, c’est sûr. Déjà qu’elle coûte cher au budget de l'État, comme jadis la fille cachée de Mitterrand: de quel droit pénètre-t-elle de nuit chez un honnête contribuable ?


Le problème avec les hommes (= les femmes) politiques, c’est qu’ils aiment le pouvoir. Ne pourrait-on pas le confier à ceux qui ne l’aiment pas, après un test sévère ? Tous disent que le pouvoir ne les intéresse pas, qu’ils n’ont pas d’ambition personnelle, qu’ils ne pensent qu’au bien public, qu’ils ont cédé à l’amicale pression de leurs amis, etc. Prenons-les au mot, et mettons en place un système de primaire qui désignerait le plus désintéressé. Il y a un précédent dans l’histoire : Cincinnatus, l’homme à la charrue, et qui y retourne après avoir occupé une place pour laquelle il ne se sentait aucun goût.


Aucun commentaire: